TRAIN DE NUIT

Catégories : FANTASME
il y a 9 ans

C'est le début des vacances pour Sophie, une jolie fille du nord qui vient de fêter ses vingt ans. Elle n'est pas très grande avec son mètre soixante cinq, mais elle est très bien faite. De plus, c'est yeux verts allument la convoitise dans le regard des hommes, et ça, elle s'en est aperçut déjà depuis pas mal de temps, et on peut même dire qu'elle en joue assez souvent.

C'est la première fois qu'elle part ainsi en train toute seule. Depuis deux ans elle part en vacances avec ses copines de fac, mais cette année, elle a choisie l'aventure, l'inconnue. Fille de famille, elle ne part tout de même pas en bohémienne. Sa place est déjà réservée dans un club en bord de Méditerranée où elle compte bien s'initier à la plongée sous-marine, et qui sait, peut être trouver un beau garçon à l'accent chantant.

Elle est émoustillée par ce voyage solitaire qu'aucune contrainte ne vient ternir. Cette liberté est telle, qu'elle ne sait pas encore trop comment faire pour la dompter, aussi, le train à peine partie, elle se met nue au lit espérant que le voyage sera plus rapide. Et puis, elle n'a pas envie de passer du temps avec la voisine de ses parents qu'elle a saluée en montant dans le train. Cette femme est si bavarde, qu'elle imagine facilement les discutions interminables et stériles qu'elle risque à la rencontrer dans le couloir.

La nuit est chaude, elle n'a mis que le drap par dessus elle, et encore a t elle la jambe droite qui est dégagée presque entièrement.

C'est plongée dans la lecture du fameux roman sulfureux "histoire d'O" qu'est la jeune fille quand des coups sourds sont frappés sur la porte métallique qui la font sursauter. Elle questionne timidement :

  • Oui, qui est ce?

  • Contrôleur Mademoiselle.

Sans se lever, elle pose son livre à l'envers sur le drap, tend le bras et déverrouille la porte. Elle attrape son sac à main qui est à ses cotés et fouille dedans pour en extraire finalement le billet.

Un grand bonhomme d'une trentaine d'années entre à demi dans le compartiment. Il se baisse pour voir la fille et la salue :

-Bonsoir Mademoiselle, votre billet s'il vous plaît.

  • Tenez...

Elle vient d'apercevoir les yeux d'un bleu lumineux qui la détaillait auparavant et elle sourit gentiment. C'est vrai qu'elle le trouve plutôt mignon ce contrôleur, rien à voir avec l'image d'Epinal du vieux contrôleur tout rond. Cet homme est grand et costaud, svelte mais musclé très certainement, ses cheveux sont d'un blond qui fait penser aux surfeurs des feuilletons américains.

  • Et bien ! mais vous n'êtes pas dans le bon compartiment Mademoiselle, c'est assez gênant, ce compartiment est réservé par des gens qui doivent monter à Troie.
  • Aïe ! J'ai du me tromper, veuillez m'excusez Monsieur, mais n'est il pas possible d'inverser les compartiment maintenant que je suis installée ?
  • Ah non ! ça c'est impossible, le règlement l'interdit, et vous savez, souvent les gens réservent telle ou telle cabine par nostalgie, ou parce qu'elle leur rappelle une lune de miel, ou une rencontre...
  • Oh Monsieur, s'il vous plaît, ne pourriez vous pas expliquez à ces gens que je dors par exemple?
  • Vous en avez de drôles vous ! Si vous croyez que c'est si simple. Et en cas de réclamations, je serai alors mis à pied pour faute, merci bien, j'ai pas envie de perdre mon boulot !
  • Allez... Dit encore Sophie en prenant un air de chien battu.
  • Non, c'est impossible. je peux vous aider à déménager, mais je ne peux pas vous laisser ici, j'en suis vraiment navré, Mademoiselle.
  • S'il vous plaît...
  • Non, tonne cette fois François qui commence à être exaspérer par cette petite grue qui joue les saintes nitouches alors qu'elle est visiblement nue sous le drap léger, car il s'aperçoit bien des volumes à travers le fin tissu.

Durant ce dialogue, le type est entré complètement dans le compartiment et a repoussé la porte.

La jeune fille lui tend toujours son billet, il s'en empare et le poinçonne avant de lui rendre.

En rangeant son billet dans son sac, Sophie ne s'occupant plus trop du drap qui lui masque sa poitrine, fait un tel mouvement, autant énervée de devoir changer de compartiment que par la présence de ce bel homme, que le tissu glisse laissant apparaître deux magnifiques seins, ronds et bien faits, dont les pointes sont érigées.

  • Et vous dormez nue en plus !
  • Et alors, c'est pas interdit que je sache ?
  • Non, mais cela dénote fort bien votre nature...
  • Comment ça ma nature, je vous prie ?
  • Vous devez être une sacrée garce !

François, d'un coup d'épaule discret vient de refermer complètement la porte sans trop de bruit, maintenant, il approche une main de cette poitrine si tentante.

  • Comment ça je suis une garce?

Et, s'emparant du premier sein qui lui tombe sous la main, tout en le pressant, il poursuit :

  • J'en ai vu des cochonnes dans les trains de nuit, mais des comme vous, qui me mettent leurs seins sous le nez, ça c'est un peu fort je trouve.
  • Mais je ne vous mets rien sous le nez, le drap à glisser, c'est tout.
  • Ben voyons ! Et je suis sûr encore que vous ne portez même pas de culotte.

A ces mots, le contrôleur qui commence à être excité par la douce peau qu'il vient de tâter, s'enhardit à relever entièrement le drap. Puis il poursuit sur un ton devenant dur :

  • Et voilà, qu'est ce que je disais, encore une folle de bite qui voyage à la recherche d'un bon coup !
  • Je ne vous permets...
  • C'est bon , j'en ai vu d'autres. Et que dirait vos parents s'ils apprenaient votre attitude ? hum ?
  • Mais...
  • Pas de mais... Vous êtes une grosse salope en chaleur, et c'est tout, je connais. Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas là pour vous empêcher de vous envoyer en l'air.

Durant tout le dialogue le contrôleur n'a pas cesser de regarder cette jolie jeune fille sous tous les angles qui lui étaient permis. Il a, par exemple, très bien remarqué qu'elle s'entretient régulièrement les poils du pubis qui ne forme qu'une petite touffe raz juste au dessus de la commissure des lèvres. Il a le s a n g qui commence à bouillir, aussi finit-il par dire avec une voix cassée qui trahie l'état d'excitation dans lequel il se trouve :

  • Mais t'as de la chance, j'aime ça moi les salope en rut...

Est-ce les mots, est-ce le ton, est-ce la chaleur, est-ce le début des vacances ? Certainement un mélange subtil de tout ça, toujours est-il que Sophie éclate en larmes.

  • Voilà les larmes maintenant, tssss...

Et François rejette complètement le drap au pied de la couchette dans un geste brusque. Puis il fixe d'un regard noir la pauvre jeune fille qui est devenue subitement blème.

  • Fais moi voir comment tu es faite chienne !

Et à ces mots, il empoigne fermement la jolie brunette et, sans ménagement, il l'a plaque sur son lit. De sa main libre il écarte les jeunes cuisses bien faite, un rien rondes, et commente :

  • Putain ! il y a eut du passage par ici, tu as la chatte toute dilatée...
  • Mais...

Sophie en a plus qu'assez maintenant, au début elle trouvait ça encore un peu amusant, mais là, vraiment, ça ne va plus du tout, aussi, tenue et ne pouvant pas vraiment se débattre, elle commence à parler très fort :

  • Attention, je vais crier salopard.
  • Mais crie connasse, tu es seule dans ce wagon !

Et alors, la pauvre jeune fille prend vraiment peur. Elle se met à crier de toutes la puissance de ses cordes vocales

La seule vraie réponse qu'elle obtient, c'est une grande gifle qui l'assomme presque, tant elle est puissante.

  • Ferme ta gueule pouffiasse !

Et l'homme lâche sa proie une toute petite seconde pour lui prendre les cuisses juste au-dessus des genoux. Il la tire sur le bord de la couchette.

Dans la manoeuvre, Sophie se retrouve en travers de la couchette en se cognant la tète contre la parois métallique du compartiment. Cette fois elle pousse un petit cri de douleur, car la tête à frapper durement. Tout va si vite qu'elle ne sait même plus où elle en est la pauvre fille. Elle reste presque sans réaction face à ce monstre en uniforme.

François n'en reste pas là, après lui avoir écarté les cuisses, il repousse les jambes vers l'arrière. Ensuite il bloque les deux jambes de son puissant bras gauche et porte sa main droite sur la vulve.

  • Au secours, lance encore la jeune fille, mais cette fois de façon bien moins convaincante.
  • Vas tu fermer ta gueule pétasse ?

Et pour marquer encore plus sa désapprobation, il relève sa main droite et l'abat tout de suite sur la totalité de la vulve.

Sous le coup, Sophie crie encore plus fort, mais très vite elle se met à pleurer, autant par la douleur que par la situation qu'elle ne contrôle vraiment plus du tout et qui lui semble désespéré. Et, si elle aime faire l'amour tout le temps et en tout lieu, elle a maintenant très peur de ce monstre lubrique et craint même pour ses jours tant l'homme semble fou.

Sans se soucier des pleurs de la jeune fille, le contrôleur écarte les grandes lèvres et passe l'ongle de son doigt sur le clito pour voir sa réaction.

  • Non, non, se plaint encore la pauvre petite.

François n'en a cure, il s'aperçoit très vite que cette façon de frotter le capuchon le fait gonfler. Il teste alors l'humidité de la grotte féminine.

Le dur massage sur son clitoris agace tout de suite la belle Sophie, et tout de suite aussi, ou presque, elle commence à mouiller. Toute cette agressivité, toutes ces injures l'ont misent dans un état second, un état d'excitation bizarre, étrange, où chaque grossièreté de l'homme la met en transe et en même temps l'énerve, lui donne envie de mordre, de crier, de le frapper.

Elle ne sait pas exactement ce qui se passe en elle, mais elle sent ce drôle de sentiment mélangé, fait de haine et d'envie, de crainte et d'excitation, de peur et de curiosité pour la suite des événements. Bien sur elle souffre des coups et de la dureté du traitement que lui inflige ce monstre, mais en même temps, elle voudrait le combler, lui obéir aveuglément, être sa chose. Elle voudrait être ailleurs parfois, puis la seconde suivante elle aimerait être encore plus proche de son inquisiteur, plus câline, puis encore une seconde plus tard, elle pourrait le tuer sans remords.

François n'est pas du tout dans le même état d'esprit. Lui, il teste cette jeune cochonne qu'il sent prête à beaucoup, prête à aller encore bien plus loin pour peu que l'on sache la prendre comme il faut.

Malgré son martyr, Sophie mouille abondamment sous les coups de griffes, appliqués sur le clitoris, qui lui vrillent tout le bas du ventre et enflamme toute la zone. Elle se surprend même à pousser un petit râle de plaisir, alors elle fait attention à se retenir.

L'homme n'a pas ses oreilles dans sa poche, il comprend bien que cette jeune salope est pas loin de s'envoyer en l'air, aussi il continue de plus belle en enfonçant son majeur d'un coup sec dans la chatte détrempée.

Sous cette introduction inattendue, la jeune fille pousse une petit soupir de plaisir. Sa respiration devient plus courte et plus haletante. Son bouton d'amour la brûle délicieusement et elle apprécie qu'il ne soit plus mis à l'épreuve.

François fait maintenant passer son index en plus de son majeur dans la moule ouverte et si accueillante. S'apercevant qu'aucune résistance ne vient contrecarrer son mouvement il poursuit d'une voix sèche :

  • Tu as vraiment du en avaler des tonnes de bites ! Salope va....
  • Enfoiré, vous n'avez...
  • J't'enmerde connasse, t'es une vraie pute au con distendue...

Puis retournant sa proie, le contrôleur vérifie maintenant l'anus. Et très vite il se rend compte que ce trou ci est aussi le siège d'un passage régulier car le muscle est avachie et l'entrée est un peu moins béante que de l'autre coté, mais toujours très ouverte pour une femme d'à peine vingt ans.

Sophie se sent soulevée, puis rejetée sans ménagement sur la couchette. Dans la position où elle est maintenant elle ne peut presque plus crier car elle a la tète plaquée sur le drap.

Enfouissant son majeur dans le cul de la belle, François s'exclame :

  • Et tu as aussi le trou du cul qui a beaucoup servis à ce que je vois, chienne !

Seul un râle étouffé se fait alors entendre. Décidément, la pauvre fille n'est plus que le jouet de ce monstre lubrique que rien n'arrête visiblement. Mais quelque part, peut être au plus profond d'elle même, cette situation lui convient assez. Cela fait déjà bien longtemps qu'elle recherche chez ses amants un homme qui puisse la guider vers de nouveaux plaisirs.

Maintenant, le vicieux contrôleur s'amuse à limer ce petit cul avec son doigt de plus en plus vite.

La caresse lubrique commence à bien exciter Sophie dont la respiration devient courte et hachée.

A ce moment, François ressort prestement son majeur et le remplace aussitôt par son pouce qui est au moins deux fois plus épais que le doigt.

  • Aïe ! tu me fais mal salopard !
  • Tu penses... tu as dû te faire enculer par un éléphant, c'est pas possible d'avoir le cul aussi défoncé !

Et sur ces mots, il redouble de vigueur. Il pouce son gros doigt le plus loin possible, à le faire entièrement disparaître dans l'anus. Puis, pensant qu'il peut aller bien plus loin encore, il ressort son appendice et ordonne d'une voix terrible :

  • Mets toi debout que je t'observe sous toutes les coutures...
  • Mais je ne vous permet...
  • Fais pas chier connasse ! Debout et vite si tu ne veut pas que je te jette par la fenêtre.
  • Mais..., essaye d'articuler la pauvre jolie brune tant elle vient de prendre peur.
  • Allez... Plus vite que ça.

Et sur l'élan, il empoigne la pauvre fille par les cheveux et la tire en bas de la couchette.

Sophie fait un gros effort pour ne pas tomber par terre, encore une chance qu'elle ne soit pas sensible du cuir chevelu. Mais telle qu'elle est menée, elle se retrouve, un peu à contre coeur, au milieu du compartiment, nue devant son inquisiteur.

  • Tiens toi droite.

Et, comme un automate, la belle se redresse. Elle se tient maintenant bien droite au milieu de la petite pièce, les bras le long du corps, les yeux fixes rivés sur le sol, un léger tremblement parcourt tout son être.

  • Parfait, ajoute encore François en se levant et en faisant le tour de cette statue vivante.

Elle est perdue dans ses pensées et essaye de faire le point sur ce qui est en train de se passer. Elle est maintenant complètement mouillée par les caresses qu'elle a reçu alors que ces mêmes caresses ont tout sauf de la douceur. Elle tremble de peur car elle craint bien que ce monstrueux mec soit bel et bien capable de mettre sa menace à exécution.

Après deux tours de sa proie, le vilain employé stoppe face à elle. Il s'empare de son téton gauche, le pince méchamment et tire dessus comme s'il voulait allongé le sein.

La brune pousse un crie en relevant la tête et en faisant un pas en arrière.

Dans un premier temps, l'homme surpris de la vivacité du mouvement perd sa prise, mais tout de suite il rattrape le téton et tire encore plus dessus pour remettre en place la jeune fille.

  • Aïe, vous me faites mal, salaud...
  • Ta gueule pétasse.

Et pour couronner le tout, il lui fiche une cinglante claque de sa main gauche.

C'en est trop pour Sophie, elle se met à éclater en pleurs et balbutie :

  • Pourquoi, mais pourquoi donc ?
  • Parce que tu n'es qu'une grosse pute, et parce que je veux que tu m'appartiennes, chienne en chaleur que tu es.

Et elle redouble de larmes en enfouissant son visage dans ses mains.

  • Et maintenant, arrête de pleurer ou je te fiche une volée dont tu te souviendras...

Mais la fille ne l'entend même pas, elle pleure de douleur car son téton lui fait un mal de chien, elle pleure sur son sort. Elle se rend bien compte maintenant que d'allumer les mecs a parfois des limites, et qu'elle a bien dû les dépasser ce soir.

Au bout de dix secondes, voyant que rien ne calme cette jeune salope, François détache sa ceinture et la fait coulisser dans les passants de son pantalon. Ensuite il empoigne avec vigueur la jeune fille, s'assoit sur le bord de la couchette, la tire à lui et l'allonge sur ses genoux. Toute l'opération n'a pas durée plus de la durée qu'un clin d'oeil.

Sans vraiment comprendre comment, Sophie se retrouve le ventre sur les jambes du pervers, la tête presque au sol, les fesses en l'air. Elle pleure toujours comme une madeleine, ses larmes coulent sur le sol métallique.

  • Je vais te faire goûter à ma ceinture pour t'apprendre les bonnes manières.
  • Non ! S'exclame la pauvre fille en ramenant ses mains sur ses fesses.

Sans se soucier outre mesure des paroles de sa proie, l'employé entoure sa ceinture autour de son poignet droit ne laissant dépasser qu'une petite vingtaine de centimètre de cuir, attrape les poignets de la fille de sa main gauche et ramène les fines mains sur les reins, lève son fouet improvisé et l'abat sur les fesses rebondies.

  • Aïe... Au secours, crie la pauvre Sophie en recevant le premier coup qui lui brûle instantanément la peau.
  • Tu peux toujours crier connasse, personne ne voudrait prendre la défense d'une pute dans ton genre...

Et tout en disant cela, il relève encore sa ceinture pour l'abattre aussi durement que la première fois juste à coté de la première marque rouge sur les fesses à sa disposition.

Un nouveau crie déchire le compartiment. la douleur est très vive, elle a l'impression qu'on vient de la faire asseoir sur la grille d'un barbecue.

  • Alors, tu gueules toujours grognasse ? Attention, plus tu gueuleras, plus tu en prendras sur le cul, tache de réfléchir un peu espèce de conne !

La pauvre jeune fille n'arrête de pleurer que pour crier sous les coups qui continuent à pleuvoir, bientôt elle a tout le cul embrasé et tout rayé de marques rouges d'un centimètre et demi de largeur.

Ce monstre fait bien attention de ne pas taper deux fois au même endroit, des fois que la zone serait un peu désensibilisée. Mais il s'en donne à coeur joie, il frappe, frappe et frappe encore comme si subitement il était devenu fou.

Quand Sophie arrive à reprendre un tout petit peu son souffle, elle en profite pour gémir :

  • Pitié, pitié, arrêtez, je ferai tout ce que vous voudrez.

François se calme, il arbore maintenant un sourire pervers. Puis, ayant analysé très vite les paroles qu'il vient d'entendre, il demande sur un ton froid et très sec :

  • TOUT !
  • Oui Monsieur, tout, mais par pitié, arrêtez de me battre, je vous en prie.
  • Bien, nous allons voir ça tout de suite alors.

Et dans un geste brutal il repousse la jeune fille qui se retrouve par terre en pleurs.

  • A quatre pattes alors.

Sans demander son reste, trop contente d'avoir un peu de répit, Sophie se place à quatre patte devant son inquisiteur. Maintenant elle ne bouge plus mais continue de pleurer à chaudes larmes.

François déroule la ceinture en regardant cette jeune chienne qu'il vient de battre comme plâtre et dit au bout de quelques instants de silence :

  • Tu vas te retourner pour me montrer ton cul de putain.

Elle se déplace alors sur elle même en restant toujours à quatre pattes sur le sol. Puis, une fois qu'elle a atteint la position demandée, elle reste figée.

  • Je veux que tu te masturbes devant moi maintenant... Et comme il n'est pas écouté assez vite à son goût, il ajoute encore, Allez!

Alors elle porte sa main droite, le majeur en avant, sur sa vulve. Et elle commence à le passer doucement entre les grandes lèvres quand elle entend :

  • Non ! branles toi le trou du cul.
  • Mais...
  • Tu veux encore goûter à ma ceinture, tu n'en as pas eu assez pour aujourd'hui ? Dit François en commençant a entourer sa ceinture de nouveau autour de sa main.
  • Si, si, je vous obéis Monsieur...

Et tout en disant cela, la jeune fille passe son doigt entre ses fesses rougies et commence à masser doucement la rondelle brunâtre.

  • Encule toi !

Sophie obéit encore une fois en introduisant son majeur dans son anus. Elle le fait entrer et sortir doucement mais profondément. Finalement, grâce au contraste avec les minutes précédentes d'ailleurs, elle commence à ressentir un sérieux trouble fait de l'excitation de cette si étrange exhibition et du plaisir qui monte au creux de ses reins alors que ses fesses la brûlent toujours.

Le contrôleur se régale du spectacle offert. Il pense que cette petite est vraiment très cochonne et ça lui plaît beaucoup. En fait, comme presque tous les hommes, il adore les cochonnes.

  • T'es vraiment une grosse salope toi ! incroyable !

La belle arrête un instant sa branlette pour dire:

  • Mais c'est vous qui...
  • T'occupe... branle toi espèce de garce... je vais te dresser tu vas voir.

Excitée, mais aussi apeurée, elle reprend son manège avec son doigt. On peut voir sa main s'activer pour pousser le majeur toujours plus loin dans les intestins.

  • Vas-y morue, prépare toi bien ton joli petit cul.

Maintenant, Sophie ne répond plus, elle a compris que tout ce qu'elle pourrait dire ne ferait qu'envenimer les choses, aussi se contente-t-elle de suivre à la lettre les instructions qui lui sont données.

Puis, d'un coup, le pervers contrôleur ordonne :

  • Assez maintenant, remets toi debout tout de suite.

Là encore la jeune fille exécute immédiatement la manoeuvre demandée. Elle se rétablie et fait face à l'homme.

  • Ecarte tes jambes...

Elle pousse sa jambe droite de cinquante centimètre environ.

_ Encore...

Elle écarte encore sa jambe d'une bonne vingtaine de centimètres.

_ Branle toi le clito maintenant...

Déjà très soumise, elle passe sa main doucement sur son ventre et vient entrouvrir ses grandes lèvres pour laisser passer son index sur le bouton d'amour.

_ Ca te mène, le cul... Hein pétasse...

Mais Sophie ne répond pas de peur d'avoir encore à faire à cette satanée ceinture qui lui a fait si mal tout à l'heure.

_ Répond morue quand je te cause ! T'aimes ça te branler, n'est ce pas?

  • Oui Monsieur...
  • Parfait, parfait... Branles toi mieux encore.

Et elle active avec plus de vigueur son index. Elle se prend si bien au jeu qu'elle commence à fermer les yeux pour se laisser aller au plaisir.

  • Voilà... C'est bien salope...

La jeune fille commence maintenant à gémir doucement sous ses propres caresses.

  • Bien... Je vais t'emmener et te mettre sur le trottoir, comme ça tu pourras en prendre plein le cul toute la journée et tu me rapporteras du pognon en plus !
  • Mais ça ne va pas non ! dit elle en rouvrant tout grand ses beaux yeux verts et en arrêtant de se masturber
  • Continue connasse ! Lance alors François très mécontent qu'elle se soit arrêter dans ses caresses, mais amusé aussi de la peur qu'il suscite en elle à l'idée de la prostituer.
  • Mais Monsieur...
  • Je te dis de continuer !

Alors la pauvre fille recommence à passer son doigt sur son clitoris, mais cette fois, la peur au ventre, le plaisir ne vient plus.

  • Tu vois bien, il n'y a vraiment que le cul qui t'intéresse dans la vie! Tu n'es vraiment qu'une salope en chaleur, toujours prête à t'exhiber.
  • Mais Monsieur...
  • Il n'y a pas de mais qui tienne... Dis donc, j'ai pas eu à t'obliger beaucoup pour que tu te branles comme ça devant un inconnu !

A ce moment, François plonge son regard froid et dur dans les yeux verts de la jeune fille qui ressent alors un profond malaise, puis il enchaîne:

  • Alors, avoue le que tu n'es qu'une pute.
  • Mais...

Là il reprend sa ceinture en main et fronce les sourcils si bien que Sophie se met à pleurer et finie par balbutier :

  • Oui, vous avez raison, j'aime ça le sexe...
  • Je veux que tu dises que tu es une vraie pute, allez !
  • Je suis une pute Monsieur...
  • Bien, voilà qui est mieux, je vais te contenter alors espèce de truie.

Au bord de la crise de nerfs, la pauvre jeune fille redouble de larmes en baissant la tête.

Le contrôleur apprécie la situation, mais il en veut plus, encore beaucoup plus, aussi continue-t-il en disant :

  • Bien, tu reconnais donc que tu es une pute, parfait...
  • Mais c'est vous qui m'obligez...
  • Ferme la ! Je t'oblige à rien du tout, tu es une chienne, tu voyages nue, tu n'hésites pas à me montrer tes seins quand je viens poinçonner ton billet, et tu trouves que je t'impose quoi là ? Hum ?
  • Mais...
  • La ferme ! Mais c'est pas vrai ça, tu ne sais pas fermer ta grande gueule... Je disais donc que quand je soulève complètement le drap pour te voir entièrement nue, là encore tu ne fais pas de gros efforts pour te protéger, en fait tu aimes exciter les mecs, et même cette attitude prouve que tu avais envie de te faire piner comme ça, là, sur la couchette.
  • Mais voyons...

A ce moment c'est une claque que donne François en se levant brutalement de la couchette, puis il enchaîne:

  • Tu ne l'ouvres que quand je t'interroge, c'est compris maintenant ?
  • Oui Monsieur, dit la jeune fille en pleurant et en se frottant la joue.
  • Quel est ton prénom ?
  • Sophie Monsieur.
  • Parfait Sophie. Bon, reprenons alors, je suis sûr que tu aimes te faire prendre en levrette, je me trompe ?
  • Non Monsieur...
  • Non quoi connasse ? Tu aimes ou pas ?
  • Oui Monsieur, j'aime cette position...
  • Bien, là encore je vois que tu aimes être soumise et sous l'homme, prise comme une bête, que tu aimes être à la merci des mecs.

Et, comme il ne reçoit toujours pas de réponse après une bonne minute, il poursuit d'une voix incisive :

  • Je me trompe peut être ?
  • Non Monsieur, vous avez raison.
  • Alors maintenant, dis moi pourquoi tu pleures quand je te traite de salope, de truie en chaleur, de pute ? Ce ne sont même pas des injures pour toi, je ne décris que le fond de ta personnalité là, non ?
  • Eh bien non !
  • Non ! Eh bien, elle est bonne celle là ! Regarde toi un peu...

Sophie a les yeux rougies par les larmes, mais elle ne pleure plus pour le moment. Elle relève la tête et fixe François d'un regard froid.

Ce dernier se lève, fait lentement le tour de la fille nue, se replace juste devant elle, la dépassant de plus d'une tête, et en la toisant continue plus durement encore :

  • Attends... Tu prétends ne pas être une grosse cochonne ! Mais regarde toi, mince, tu passes ton temps à poils, tu te laisses peloter par n'importe qui, tu reste nue devant moi sans chercher à te cacher. Je peux même toucher tes nichons sans que tu ne dises rien...

Et sur ces derniers mots, il s'empare du sein droit de la jeune fille et le malaxe.

Elle a un petit mouvement de recul et cherche à se dégager mais une claque sur la joue gauche lui fait comprendre qu'il n'est pas question de se soustraire à ce monstrueux contrôleur.

  • Tient ! Maintenant tu te rebiffes, attention ma ceinture n'est pas loin salope...

La pauvre fille ne sait plus quoi faire pour abréger ses souffrances. Elle sent bien, dans le ton utilisé, que ce mec pervers est tout prêt à la battre avec la ceinture à nouveau, aussi évite-t-elle de bouger pour le moment.

François presse le nichon sans douceur, tire sur le téton avec sadisme arrachant au passage un nouveau cri à la pauvre Sophie, puis il enchaîne :

  • Ouais... Ton métier ce sera putain... Demain je t'emmènerai chez moi à Nantes, là j'y ai un copain qui est le patron d'un bar de nuit, il devrait pouvoir te prendre à l'essai.
  • Non...
  • Mais si tu verras, tu seras bien, tu pourras en prendre plein le cul toute la nuit, et tu me rapporteras du pognon...
  • Mais vous n'avez pas le droit...
  • chut... Voyons maintenant ce que tu sait vraiment faire avec ton cul ma belle...

Et, sans autre forme de procès, il attrape les cheveux bruns de Sophie et lui ordonne :

  • A genoux.

Ne pouvant pas vraiment faire autrement que d'obéir, elle se baisse et se met à genoux sur le sol.

  • Qu'attends tu donc !
  • Que voulez vous au juste Monsieur ?
  • Devine connasse ! Ouvres ma braguette, tu vas très vite comprendre.

François bande comme un taureau, et maintenant il a envie de passer aux choses sérieuses. Obéissant sagement, autant par peur que par vice, elle ouvre doucement la braguette en faisant bien attention à ne pas maltraiter cette grosse bite dont elle a finalement très envie aussi.

  • Vas y, suces moi la bite morue...

Sans répondre à ces insanités, Sophie prend alors la queue dans sa bouche et referme ses lèvres pulpeuses sur le gland rouge.

Les petits coups de langues qui viennent agacer sa queue donnent bien des frissons à François. Il ferme ses yeux pour mieux se concentrer sur la pipe qu'est en train de lui faire cette jeune salope experte.

  • Oui... Comme ça, c'est bon... Ah quelle bonne chienne tu me fais toi !

Il maintient toujours fermement la tête, mais maintenant, on peut lire un large sourire sur sa face de scélérat.

La jeune fille commence à se sentir un tout petit peu plus rassurée en tenant entre ses dents la bite de son inquisiteur. Elle pourrait, si elle le désirait vraiment, mordre et faire fuir ce monstre de contrôleur, mais quelque chose doit se passer en elle car au lieu de se venger de ce qu'elle vient de subir, elle prend plaisir à sucer.

  • Parfait salope, toi tu es une bonne suceuse ou je ne m'y connais pas.

Et elle continue à pomper, elle pompe par plaisir, mais aussi encouragée par ce qu'elle vient d'entendre, ces mots ne la choquent plus vraiment, au contraire même, maintenant ils commencent à enflammer ses sens.

François a le corps tendu, les jambes raides, excité comme il est par cette rencontre imprévue et si bizarre, il sent qu'il ne va pas tarder à jouir. Il relâche les cheveux de la pauvre jeune fille que pour mieux s'emparer de ses oreilles et lui imprimer un rythme bien plus soutenue.

  • Continue ! je vais t'offrir mon foutre pour te montrer à quel point tu es une bonne pute...

Sophie acquiesce par deux petits sons gutturaux ne pouvant pas parler outre mesure. Elle aspire encore plus fort et en profite pour sortir sa langue sous la queue épaisse et venir la caresser par dessous.

Très vite, ne pouvant plus se contenir, l'homme joui dans la douce bouche. De gros jets de foutre vont s'écraser contre le fond de la gorge.

Bientôt la jeune fille à la bouche entièrement remplie de foutre, heureusement elle peut laisser à cet instant ce gros vit ressortir. Puis, une fois qu'elle a la bouche dégagée du gros mandrin de chair elle entend :

  • Avale tout, n'en perds pas une goutte...

Et là encore, toujours soumise, elle avale tout le sperme chaud.

François tire encore sur les oreilles mais cette fois pour qu'elle relève la tête. Il veut voir la tête qu'elle peut bien faire à être ainsi obligée de boire son jus de mâle.

La tête relevée, Sophie affiche un grand sourire, car elle adore boire cette épaisse liqueur. Elle ne pourrait dire exactement ce qu'y l'excite en ce moment, mais ce qui est certain, c'est que sa cyprine coule abondamment de sa chatte détrempée, il y a même une petite flaque de son foutre de femelle sur le sol.

  • C'est bien chienne, tu aimes ça, alors dorénavant, je te nourrirai au sperme.

La jeune fille sourit à cette idée saugrenue. néanmoins, elle se souvient d'avoir fait des rêves fous dans lesquels elle était au milieu de plein d'hommes qui déchargeaient dans un saladier et elle devait boire tout le sperme à la fin de la soirée.

  • Bien, nous allons faire une nouvelle expérience maintenant, enchaîne encore François avec un regard lubrique.

Sans rien dire, Sophie sourit doucement car elle voit bien que le type va avoir quelques peines à reprendre du service car il a la bite en berne.

  • Mets toi à quatre pattes et montre moi ton cul salope, ordonne à cet instant le contrôleur.
  • Mais vous n'en avez pas encore assez ? Il y a bien d'autres personnes dans ce train à contrôler, non ?
  • Ta gueule connasse ! Tu fais ce que je te dis ou je reprend ma ceinture pour te mater...
  • Bien Monsieur...

Et, ayant compris au ton employé, qu'elle n'avait pas d'autres choix que de s'exécuter, elle se tourne et se remet, une fois de plus, en position.

  • Il n'y a pas à dire, tu as vraiment un beau cul bien dilaté...

Tout en parlant, François a posé sa main gauche sur les fesses pour les écarter de son pouce et de son index, puis il a introduit son majeur droit dans l'orifice qu'il cherche encore à ouvrir plus.

  • Toi, tu aimes vraiment te faire enculer, ça se voit comme le nez au milieu de la figure.

Sophie ne répond plus mais se laisse aller au plaisir que lui procure ce doigt expert en visite guidée. Effectivement elle adore ce genre de gâterie, aussi se laisse-t-elle aller à gémir sous la caresse.

L'homme se rend compte et ordonne alors :

  • Viens t'écarter les fesses en grand avec tes mains.

Toujours soumise, elle laisse sa poitrine venir en contact avec le sol dur du compartiment, puis elle ramène ses mains sur ses fesses et les écarte alors impudiquement comme pour permettre une meilleure pénétration.

  • Allez, tire bien sur tes fesses pour l'ouvrir ton anus de pute.

Et Sophie écarte encore plus ses fesses pour se laisser fouiller les entrailles, mais elle ne peut pas voir à cet instant que François vient de se relever et se tient derrière elle les jambes fléchies.

  • Mets toi les index pour l'ouvrir ton cul de salope, vite!

Toujours sans répondre, la jeune fille s'exécute rapidement en se dilatant le trou du cul et en espérant le passage d'une bonne bite par cet orifice.

L'homme attend quelques instants que l'anus soit bien ouvert, toujours debout au dessus des fesses, les jambes fléchies. Il tient sa bite pliée vers l'orifice béant. Puis, quand il estime que la femelle est à sa merci, il se lâche et pisse tout debout dans l'orifice ouvert.

La jolie brune se met alors à pousser un cri tant elle est surprise de l'opération, puis elle commence à balbutier :

  • Mais ça ne va pas...
  • Ta gueule ou je te pisse dans la bouche morue ! se contente de répondre François en se vidant la vessie.

Le liquide jaune pale qui s'insinue dans ses entrailles procure une étrange sensation à la belle Sophie, ni vraiment agréable, ni vraiment désagréable. La seule chose qui la stupéfie encore c'est son absence de réaction face à ce monstre, bien sur c'est un bel homme, mais comment a-t-elle pu en arriver à se laisser faire de tels choses, là est la question.

  • C'est parfait, tu es une bonne pute bien docile, laisse tomber le contrôleur d'une voix devenue bien veillante tout en se rasseyant sur le bord de la couchette.

La jeune fille n'ose pas bouger de peur d'agacer le monstrueux personnage, mais aussi de peur que l'urine ne s'échappe de ses intestins. Elle se sent sale tout à coup.

Le mec contemple quelques instants sa proie soumise à ses caprices, puis il ajoute sur un ton redevenant impératif tout en gardant encore des traces de bienveillances :

  • Maintenant, tu vas aller te vidanger les boyaux aux chiottes en bout de wagon.

A ce moment là, la pauvre jeune fille commence à croire qu'elle arrive au terme de ses souffrances et que ce vicieux personnage va finir par se lasser d'elle, aussi, tout doucement elle se relève. Une fois debout, elle s'empare de sa petite robe d'été qui est posée sur la couchette en face de la sienne.

  • Non ! vas-y nue, tu es une bonne chienne, mais pas un toutou à sa mémère avec un petit manteau, donc tu vas aux chiottes nue comme une bonne chienne bien obéissante.
  • Mais Monsieur, si quelqu'un venait ....
  • Je te protégerai, sois rassurée, mais je veux te voir nue dans les couloirs.

Et encore une fois, la peur au ventre, la pauvre Sophie se remet à pleurer en balbutiant :

  • Pitié Monsieur, pitié, je vous en prie
  • Allons donc ! ça ne va pas te tuer de faire dix mètres nue, tu dois bien avoir l'habitude de t'exhiber non ?
  • Non Monsieur, je vous assure, je ne ....
  • Pas d'histoire, tu fais ce que je t'ordonne et c'est tout, sinon gare à ma ceinture.

La pauvre chérie se met à trembler en redoublant ses pleurs. Elle essaye encore inutilement de négocier en ajoutant entre deux pleurs :

  • Mais pour qui je vais passer moi alors !
  • Eh bien, pour ce que tu es ma belle, une vraie salope soumise qui a en permanence le feu au cul et qui a toujours besoin de se faire fourrer.
  • Mais...
  • Aller, hop, plus de discussion stériles, vas aux toilettes, je te suis.

Le ton est devenu complètement contraignant, la jeune fille est entièrement perdue et, ne sachant plus quoi dire, finie par entrouvrir la porte du compartiment. Elle hésite, jette un regard à droite, puis à gauche, essaye de reculer quand elle sent deux mains puissantes sur ses hanches qui la poussent dans le couloir assez peu éclairé.

  • Et ne tache pas de cacher tes seins ou ta moule, hein !

Alors, les bras le long du corps, elle se hâte vers le bout du wagon en priant mentalement que personne ne passe pendant son trajet. Très heureusement pour elle, la pièce est libre et elle entre prestement dans le petit réduit en refermant la porte sur elle. Elle est persuadée que le contrôleur est derrière la porte à l'attendre, aussi se dépêche t elle de s'asseoir sur la lunette.

François est finalement resté dans le compartiment et attend que sa proie revienne. Il s'amuse beaucoup intérieurement à voir comment et combien cette jeune créature est à sa merci. Il se rend compte qu'il a poussé le bouchon très loin cette fois-ci, mais il se doit bien de reconnaître que ces jeux l'excitent aussi beaucoup, et que plus il va loin, plus de nouvelles idées germent dans son esprit.

Sophie pisse littéralement par le cul. Elle sent également ses propres excréments qui partent avec le liquide, heureusement que le bruit du train couvre entièrement les sons qu'elle laisse échapper. Elle pense qu'elle se sentirait encore plus honteuse si elle savait que quelqu'un pouvait l'entendre. Seule maintenant, elle essaye de retrouver ses esprits et de comprendre comment elle en est arrivé là.

Au bout de cinq minutes, le contrôleur ne voyant pas réapparaître sa soumise, il se décide d'aller jusqu'aux toilettes pour voir de quoi il en retourne. Arrivé devant la porte, il tend l'oreille mais ne perçoit aucun son, il tape alors à la porte avec sa pince et annonce en déguisant sa voix :

  • illet s'il vous plaît.

Le bruit fait sursauter la jeune fille sur son siège. En s'essuyant rapidement elle lâche :

  • Oui, j'arrive Monsieur.

Comme elle est entièrement nue, elle en profite pour laver ses fesses toutes maculées. Après un rapide séchage, elle entrouvre la porte pour voir si personne d'autre n'est présent.

  • Allez, dépêche toi, je n'ai pas que ça à faire moi.

Baissant la tête, Sophie repart vers son compartiment sans mot dire. Sans oublier qu'elle est nue, elle se sent soulager que l'homme la suive de près. Au moins, pense-t-elle, si quelqu'un m'aperçoit ainsi, il comprendra ce que j'endure et viendra peut être me délivrer de ce monstre.

Malheureusement personne ne passe à cet instant dans le wagon, et la jeune femme soumise entre dans son compartiment suivi de près par le pervers contrôleur.

Dès que la porte est refermée, il ordonne d'un ton des plus sec en lui attrapant le bras et en commençant à lui imprimer le mouvement qu'il souhaite lui voir faire :

  • A quatre pattes par terre.

Toujours sans broncher, la pauvre fille s'exécute, elle pose ses genoux sur le sol et prend la position demandée, les mains bien à plat devant elle.

  • Parfait, tu vas rester dans cette position le temps que je finisse mon service maintenant, je passerai de temps à autre, gare à toi si tu as bougé, ma ceinture est toujours prête elle...

Et sur ces mots, il sort du compartiment en refermant derrière lui avec son trousseau de service.

Sophie essaye de comprendre tout ce qui vient de se passer. Les idées tournent dans sa tête à grande vitesse. Pour le moment elle ne sait même plus si ce fut excitant ou carrément dégouttant, bien sur la fessée lui a fait mal, mais cette douleur est maintenant bien loin, bien sur elle a été injuriée, mais ces injures n'ont-elles pas été aussi excitantes quelque part ? Et n'a-t-elle pas rêvé parfois de situations assez semblables ?

De longues minutes passent, elle est toujours à quatre pattes sur le sol à réfléchir longuement, puis, une idée chassant l'autre, elle ne vient à se demander pourquoi elle reste ainsi, seule, nue, comme une chienne. Après quelques secondes d'hésitation, elle se reprend et se vient s'asseoir dans sa couchette. Là, ses cogitations reprennent de plus belle.

Près d'une demi-heure plus tard le joyeux pervers réapparaît sans autre forme de procès et entre dans le compartiment tirant ainsi sa proie des réflexions dans lesquelles elle erre assise sur sa couchette. Voyant que ses instructions n'ont pas été suivies à la lettre, il commence à crier dès la porte refermée derrière lui :

  • Ne t'ai-je pas dis de rester à quatre pattes comme une vulgaire chienne bien dressée ?

Devant le ton agressif, la pauvre Sophie sursaute et se remet une fois de plus à pleurer.

L'homme la prend sans ménagement par le bras et la tire en bas de la couchette en criant encore :

  • A quatre pattes salope !

Puis, après que la pauvre fille se soit remise en place comme le souhaitait le sadique, ce dernier laisse tomber d'une voix très étrange :

  • Bien maintenant je t'enferme et je reviens avec ton tout premier client, tache d'être une bonne pute...

Sur ces dernières paroles, il ressort rapidement du compartiment en refermant avec soin derrière lui.

Cette fois Sophie n'ose plus bouger, elle pensait réellement que s'en était finie des contraintes imposées par ce monstrueux mec, mais elle se rend bien compte que l'homme n'a pas décidé de la laisser en paix. A nouveau elle tremble de peur, elle redoute le pire pour les minutes qui viennent.

Son angoisse n'est pas de très longue durée car bientôt la porte s'ouvre à nouveau. Le contrôleur entre dans le compartiment suivi de près par le serveur du wagon restaurant.

Georges est un homme d'une bonne quarantaine d'années, assez petit et rond, ses cheveux grisonnants lui donne un air débonnaire, mais d'étranges lueurs salaces luisent dans ses yeux gris clairs. C'est loin d'être un bel homme, l'ensemble fait beaucoup plus pensé à un client assidu de bordel qu'à un serveur malgré sa tenue.

Dès que la porte est refermée, le contrôleur s'adresse à son copain :

  • Alors ? N'est elle pas jolie ma petite pute ?
  • Oui... Mais elle me semble un peu jeune... Tu es sûr qu'elle pourra recevoir ma grosse queue?
  • Oui, je connais ton problème de se coté là, je crois vraiment que oui, de toutes façons, si ça ne marchait pas, je te rembourserai.

En entendant ses mots, la pauvre Sophie a de grands frissons, elle se demande encore une fois pourquoi elle a accepté toutes ses horreurs. Elle se dit aussi qu'elle est tombée bien bas pour accepté, même sous la contrainte, toutes les choses que lui ordonne ce monstrueux contrôleur.

François vient se placer devant sa pute, lui attrape les cheveux et les tire vers le haut pour que la jeune fille redresses sa tête, puis il enchaîne :

  • Elle est mignonne, non ?
  • Oui, pas de problème, répond le serveur après être venue à coté de son pote pour dévisager la petite.
  • Bon, je vais alors te laisser avec cette chienne, si quoi que se soit se passe mal, si elle se rebiffe ou te manque de respect, ou tout simplement si elle ne veut pas faire ce que tu lui demande appelle moi avec le talky-walky. Elle sait qu'elle doit être bien obéissante, mais on ne sait jamais avec ces chiennes, deux précautions valent mieux qu'une.
  • OK. En cas de soucis je t'appelle.
  • Bien, alors amuse-toi, régale-toi comme tu veux, défonce lui bien le cul, de toutes façons son prochain client ne sera pas avant demain, donc tu as carte blanche pour cette nuit vieux frère...

Sur ces dernières paroles, le contrôleur lâche les cheveux qu'il tenait toujours en main et sort tranquillement du compartiment en refermant encore derrière lui.

  • Parfait salope, commence alors l'homme resté seul, tu vas commencer par me sucer pour me mettre en forme.

Sur ces mots, Georges baisse son pantalon et son slip puis s'assoit sur le bord de la couchette. Une fois bien installé, il dit encore :

  • Vient me sucer, qu'attends tu chienne ?

Sans mot dire, Sophie, comme un automate, se retourne en restant à quatre pattes et vient se placer entre les jambes de l'homme. Cette fois elle ne sait plus du tout où elle en est, elle exécute ce qu'on lui demande comme si elle rêvait.

Le type ne bande pas du tout, il a sa queue toute molle qui pend entre ses cuisses. Il s'empare des cheveux de la jeune brune et les tire pour la faire venir plus près de lui, puis il ajoute encore :

  • Vas-y, suces moi chienne...

Alors la pauvre fille ouvre la bouche et happe la bite molle. Maintenant elle commence à la sucer doucement.

  • Oui... Pompe-moi le dard salope, tu es une bonne pute à ce que je vois.

Très vite, la queue grossie dans la bouche de la petite brune. Il faut dire qu'elle s'y prend plutôt bien, elle avale la bite le plus loin possible dans sa gorge, quand elle estime être tout au fond de sa gorge et qu'elle commence à avoir un petit haut le coeur, elle la ressort doucement en la flattant avec sa langue, puis elle recommence encore à l'aspirer, et ainsi de suite.

A ce régime Georges ne peut rester de marbre, ou plus exactement, il devient de marbre, mais en plus chaud. En quelques minutes sa queue devient raide, elle n'est pas plus longue que la moyenne en fait, mais au moins deux fois plus grosse.

Le diamètre imposant de l'engin qu'elle suce commence à fatiguer sérieusement la pauvre Sophie qui fait de gros efforts pour ouvrir toujours plus grande sa petite bouche. Cette fois elle ne peut pas vraiment dire que cet homme bedonnant l'excite, d'ailleurs en temps normal, elle aurait toujours refusé les avances d'un tel personnage, pourtant, en ce moment elle mouille et prend même plaisir à sucer cet homme. Encore une fois elle se demande un bref instant pourquoi, puis se laisse de nouveau aller à son plaisir.

Bien sur le contraste de l'attitude ce serveur qui lui caresse les cheveux avec celle précédente du contrôleur doit être une des causes de son excitation. Mais il semble également que ce fameux employé est vu juste, et que la contrainte participe encore à cette excitation pour la jeune fille.

Georges ne se pose aucune question quant à lui, il se laisse aller, apprécie cette bonne pipe, trouve la fille très jolie et bien experte pour son jeune age.

Tout à coup, dans un étrange son guttural, Sophie ressort l'énorme mandrin de chair de sa bouche et dit en s'excusant :

  • Je suis désolée, mais votre sexe est vraiment devenu trop gros pour que je le suce Monsieur.
  • Vient t'allonger ici, dit alors Georges d'un ton compatissant en se relevant du bord de la couchette et en désignant cette dernière à la jeune fille.

Toujours dans un état second, moitié rêve, moitié cauchemar, la jolie brune se relève en se frottant les genoux et vient s'allonger docilement comme il lui a été proposé.

Une fois qu'elle est correctement installée, le serveur qui vient de défaire sa veste et sa chemise, écarte le genou droit de la jolie fille et vient plaquer sa bouche sur la chatte détrempée. Il commence par lécher la cyprine qui coule sur le haut des cuisses tout doucement, gentiment, avec, visiblement, l'envie de donner du plaisir à sa partenaire.

Sophie ressent la bienveillance de cet homme est l'apprécie d'autant plus qu'elle a encore en mémoire les durs moments qu'elle vient de passer avec le monstrueux contrôleur.

Georges laisse sa main gauche caresser la poitrine et le ventre de la fille, pendant que l'autre main s'occupe d'écarter les grandes lèvres pour que sa langue puisse cajoler le clitoris déjà tout gonflé.

La belle brune commence vraiment à se détendre sous les doux assauts de cette langue généreuse. Sa respiration et son pouls deviennent plus rapide, de temps à autre, de petits gémissements de plaisirs s'échappent de sa gorge.

Le serveur se rend bien compte que ses caresses sont appréciées à leur juste valeur. Il s'applique d'autant plus qu'il sent bien que cette petite beauté ne va pas tarder à s'envoyer en l'air, et il sait par expérience qu'une femme comblée est ensuite prête à bien des choses en remerciement.

La jolie jeune fille est au bord de la jouissance, la douceur de la langue sur sa vulve, les doigts chauds et doux qui se promènent sur le bas de son ventre et le haut de ses cuisses, là où la chair est si tendre et si sensible, le souffle qu'elle perçoit sur ses petites lèvres, tout concourt à lui donner du plaisir.

Georges passe un long moment à s'occuper de cette petite moule toute fraîche. Parfois il enfonce sa langue dans le sexe ouvert et chaud, parfois il se contente de lécher toute la vulve pour laper la cyprine douce de la belle, parfois il mordille doucement les lèvres sexuelles jusqu'à voir la jeune fille se crisper, puis ensuite il revient au bouton d'amour pour le branler et ainsi apaiser sa partenaire.

Suivant les caresses, Sophie gémie, aspire profondément et bruyamment, souffle fort, se crispe, se détends, s'abandonne, relève sa tête, la laisse retomber, crie, hurle. Cette fois elle jouie complètement et se laisse aller au plaisir, la tête envahie de douces sensations, seul son corps répond encore aux sollicitations de son amant.

Sous une caresse de la langue sur son clitoris plus appuyée que les autres, la jolie brune ne peut s'empêcher de dire d'une voix chavirée :

  • Oui... Tu me rend folle... Continue surtout...
  • Tu aimes ça cochonne, hein...
  • Oh oui... Oh oui...

Et voyant que cette fois la jeune fille est vraiment en train de se pâmer, Georges en profite pour lui susurrer :

  • Je vais te mettre ma grosse bite, tu veux...
  • Oui... Baise moi mon coeur

Sans plus attendre, l'homme se place entre les cuisses de sa partenaire et guide, de sa main droite, son gros dard qu'il applique contre l'ouverture de la moule entre les grandes lèvres.

Sophie est avide de douceur après cette folle soirée qu'elle vient de passer, et le contraste des attitudes des deux hommes fait qu'elle se sent encore plus en sécurité, et que maintenant, elle a envie de rapport sexuel plus classique. Et puis, elle commence à former le secret espoir que cet homme puisse l'aider si elle s'y prend correctement et qu'il la délivre des griffes de l'affreux contrôleur.

Le serveur fait pénétrer doucement son énorme gland dans le petit minou rose qui essaye de s'ouvrir pour le laisser passer.

Sous l'assaut les chairs s'écartent procurant ainsi un subtil mélange de sensation à la jolie Sophie, mélange de plaisir et de douleur, plaisir de se sentir envahie, remplie, et douleur légère et excitante.

Georges prend tout son temps pour faire entrer sa grosse bite tout au fond du jeune vagin déjà détrempé. Durant cette première pénétration, il ne cesse de prodiguer ses caresses sur toutes les parties du corps à sa portée, doucement, presque tendrement, il embrasse la jeune fille comme pour la rassurer.

Bientôt elle sent le gland venir buté au fond de sa matrice, elle a l'impression que son sexe va se déchirer tant la dilatation est importante. Il lui semble impossible qu'elle est pu accueillir un engin d'une telle taille, surtout avec si peu de mal, les caresses de cet homme sont certainement le secret de cet exploit.

Le serveur commence un lent va et vient, prenant bien soin de ne pas brusquer sa jeune et jolie partenaire. Il profite de se moment pour venir embrasser goulûment la belle bouche à sa portée, puis il pivote sur lui même en serrant puissamment sa frêle compagne pour se retrouver sur le dos et qu'elle puisse être assise sur sa queue.

C'est un réel plaisir pour Sophie de se sentir ainsi possédée par ce personnage si prévenant, quel contraste avec le début de soirée, peut être est ce là aussi le secret de son plaisir, mais elle n'en a pas encore vraiment conscience. Pour le moment elle se laisse bercer par les allés et venues de la bite dans sa chatte qui la remplissent de bonheur.

Georges sait parfaitement qu'on attrape plus de mouches avec du miel qu'avec du vinaigre, aussi prends-t-il tout son temps pour amadouer cette jolie femelle, mais bientôt, sa nature vicieuse revient au galop, alors il laisse samain droite se diriger vers les fesses de la belle et se permet d'introduire son index et son majeur dans l'anus encore tout dilaté.

Cette fois la jeune fille s'exprime en commençant à pousser de longs petits râles de plaisir. Elle a l'impression d'être envahie de partout, d'être toute entière vouée au sexe et à la luxure, et cette idée ajoute encore à son excitation.

Ses deux doigts plantés bien dans le beau petit cul ferme de la jeunette, Georges en profite alors pour les écarter et dilater ainsi encore plus l'anus déjà bien ouvert.

Sophie perd complètement la tête, elle ne sait même plus où se trouvent les doigt et où opère la bite tant elle est partie dans son délire sexuel. Elle se laisse maintenant totalement faire par ce personnage si peu attrayant de prime abord, mais si sensuel et doux, si prévenant et, surtout, si expert. Elle se pâme, se laisse retourner, se laisse porter par le plaisir qui lui est offert, elle perd tout repère de temps et de lieu.

L'homme, sentant que sa partenaire est bel et bien partie, se laisse à son tour partir dans son propre plaisir. Cette petite moule, aussi juteuse soit elle, lui comprime la queue de façon divine, et très vite il sent qu'il va exploser si il ne se contrôle pas. Alors, étant en train de prendre la jeune fille en levrette, il se retire d'un coup pour laisser la tension retomber quelque peu.

Le sevrage brutal perturbe la pauvre Sophie qui a encore envie de sentir cette énorme bite lui vriller le ventre, elle s'en inquiète et demande d'une voix très chatte :

  • Continue, prends moi c'est si bon...
  • _ Oui ma chérie, rassures toi, je vais te redonner du plaisir mon coeur...

Mais cette fois il plaque son gros gland sur l'anus encore tout ouvert, le fait pénétrer de quelques millimètres et ajoute :

  • Je vais t'enculer ma belle...

Sans rien dire, la jeune fille acquiesce en bougeant doucement son cul de droite à gauche, excitée comme elle est elle permet tout à cet inconnu qui fait preuve de tant de douceur et de prévenance comparé au contrôleur lubrique dont elle a subit les assauts et les injures précédemment. D'ailleurs elle commence maintenant à oublier ses malheurs.

Et Georges pousse doucement sur ses hanches pour faire entrer son gros mandrin dans le petit trou du cul chaud mais déjà très bien dilaté.

Le muscle se relâche encore pour laisser passer le pieu de chair, arrachant au passage de grands cris à sa propriétaire, cris de plaisir, juste entrecoupés par la respiration haletante de la jeune fille.

L'homme fait pénétrer doucement son terrible engin jusqu'au fond des boyaux en ayant pris soin d'écarter les jolies fesses pour pouvoir aller le plus loin possible. Puis, quand il est sûr de ne plus pouvoir aller plus loin, il commence à faire ressortir sa bite tout aussi doucement.

Durant toute la lente introduction, la belle se pâme, jamais elle n'aurait cru qu'un tel appareil puisse entrer en elle, alors, bien sur, elle ne pouvait pas imaginait un instant que pareil chose puisse loger dans ses entrailles. C'est une sensation nouvelle et très agréable pour cette jeune créature si dévergondée, elle sent son anus ouvert, béant. Quand son amant ressort entièrement son mandrin, elle a l'impression qu'elle restera à jamais dilatée, grande ouverte, et qu'elle peut maintenant engloutir par cet orifice des objets de plus en plus gros.

Georges a sortie sa bite intégralement pour regarder le petit trou essayer de se refermer lentement après cet incroyable passage. Après quelques instants de ce spectacle, il introduit à nouveau son gros sexe. Cette fois il va plus vite que précédemment au fond de l'affaire.

Comme le passage est déjà rodé, Sophie ne ressent qu'un immense plaisir à cette nouvelle introduction, et tout en gueulant de bonheur, elle se cambre pour recevoir le plus loin possible ce merveilleux membre qui lui procure tant de plaisir.

Le serveur se laisse maintenant aller à son propre plaisir, il se régale d'enculer cette jolie jeune fille, il lui lime l'oignon sans vergogne en lui tenant fermement les hanches.

Sophie pousse de longs cris à chaque fois que cette grosse queue se fraye un chemin dans ses intestins, et reprend un peu son souffle quand elle se retire. Elle jouit comme une folle et s'en donne à coeur joie, cette fois elle se laisse totalement aller, elle aussi, à son plaisir. Ses sens sont en feu.

Texte écrit par Xmaster

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